De l’univers coloré de Hassan Hajjaj aux régions délaissées des États-Unis par Ray Mortenson, voici notre sélection.

La Foire s’étend à nouveau au-delà du Grand Palais Éphémère dans le cadre du programme public. Des œuvres à découvrir entre autres au jardin des Tuileries, de John Giorno à Gloria Friedmann en passant par Julien Berthier. Pour la deuxième année consécutive, Annabelle Ténèze, nouvelle directrice du Louvre-Lens, assure le commissariat de l’exposition des Tuileries. En accès libre, le parcours, baptisé « La Cinquième Saison », explore le jardin comme un espace minéral, aquatique et végétal. Les pièces sélectionnées questionnent notre relation à la nature.

En 2025, la salle Le Plaza rouvrira dans le nouveau centre culturel consacré au cinéma et à ses liens avec les arts. Un projet ambitieux, porté par Jean-Pierre Greff, qui vise à situer Genève parmi les villes incontournables du 7e art.

L’artiste Hassan Darsi, fondateur de La Source du lion, prépare une exposition d’envergure à Marrakech pour la fin de l’année 2023, après avoir publié en 2022 La Source du lion de 1 à Z, retraçant l’histoire du projet.

Alors que son univers chatoyant dialogue à Melbourne avec les toiles de Pierre Bonnard, l’architecte d’intérieur d’origine irano-égyptienne raconte son rapport à la couleur, le réaménagement de la Villa Médicis et ses nouveaux projets.

Créée en 2017 par Hassanein Hiridjee, la Fondation malgache d’art contemporain s’installe dans un bâtiment entièrement rénové du centre-ville, entraînant avec elle le frémissement d’une scène artistique.

À l’occasion de son exposition d’affiches à la Bibliothèque nationale de France, à Paris, le designer évoque son lien privilégié avec la capitale néerlandaise. Plus qu’un objet, c’est une image qu’il façonne, comme une invitation.

Depuis trente ans, la comédienne britannique façonne des êtres ténébreux sur des panneaux de bois. Ses tableaux sont exposés pour la première fois au musée d’Art moderne de Paris.

Le pays d’Asie centrale renforce son offre artistique, du nouveau bâtiment du musée des Arts au Centre pour les arts contemporains, tous deux à Tachkent, ou encore par sa présence à Venise avec son pavillon à la Biennale d’architecture.

Objet avant tout utilitaire, l’automobile du designer lui sert notamment pour aller surfer. Une passion qu’il pratique depuis longtemps et qui, comme le dessin, nécessite un temps irréductible.

Admirateur de Jean-Michel Basquiat et des peintres primitifs haïtiens, l’écrivain et académicien dépoussière l’art du roman grâce au dessin, qu’il pratique en toute liberté.

Alors que se déroule, du 26 au 29 janvier 2023, le Festival international de la bande dessinée d’Angoulême qui l’a souvent convié, Mathieu Sapin, en clin d’œil, rend hommage au bureau de son grand-père sur lequel il dessine toujours.

Cet ouvrage graphique reflète l’intérêt du designer et architecte d’intérieur, également ancien directeur du Centre de recherche sur les arts du feu et de la terre, à Limoges, de 1994 à 2009, pour l’architecture, l’art en général et l’art d’accumuler ou de collectionner en particulier…

La secrétaire générale du prix Femina a livré en 2000 sa fascination pour la vente dans "La Passion aux enchères". Elle décrit ici le plaisir d’accueillir chez soi l’objet tant désiré.

Le président du Conseil constitutionnel publie Tableaux pluriels, une étude érudite sur l’art du polyptyque, née de sa propre pratique de la peinture et des contraintes de son atelier. Rencontre dans son bureau du Palais-Royal, à Paris.

Le groupe originaire de Versailles a enregistré son nouvel album, Alpha Zulu, dans une salle du musée des Arts décoratifs, à Paris. Récit de cette aventure originale en compagnie du guitariste Christian Mazzalai.

La 6e Triennale d’architecture de Lisbonne prône un retour à la « Terre » et convoque des « architectes-réparateurs » pour imaginer des solutions à l’urgence climatique.

Christie’s disperse le 9 novembre 2022 à New York 60 chefs-d’œuvre qui appartenaient à feu le cofondateur de Microsoft, un étourdissant ensemble de 150 œuvres évalué, en tout, 1 milliard de dollars, et qui devrait devenir la collection la plus chère du monde des enchères. En voici le « best of ».

Américain d’origine grecque, il a été le directeur artistique de chefs-d’œuvre du cinéma américain. Célébré par un beau livre d’entretiens et par une rétrospective à la Cinémathèque française, ce peintre inspiré par le pop art nous ouvre les portes de son atelier parisien.

Depuis dix ans, l’association L’Atelier de l’Observatoire, à Casablanca, œuvre pour la création d’un Musée collectif et citoyen. Une ambition semée d’embûches.

Largement déployée dans la ville, cette 17e édition entend servir de journal à une époque où, dans certains pays, la liste des sujets sur lesquels on ne peut plus écrire s’allonge.

Parmi les domaines ligériens qui, depuis quelques années, se piquent d’art contemporain, il n’y a pas seulement Chaumont-sur-Loire (qui consacre cet été une remarquable exposition à Jean Le Gac). C’est le cas aussi, à une moindre échelle, de ce château situé à Lémeré, entre Richelieu et Chinon.

Après avoir survécu à l’État islamique, la capitale assyrienne est à nouveau en péril.

Le graphiste suisse André Baldinger et son associé allemand Toan Vu-Huu, qui ont conçu l’identité visuelle du lieu, présentent l’exposition « Confluences » au Centre de création contemporaine Olivier Debré (CCCOD).

Au centre d’art Transpalette, à Bourges, les Argentins Chiachio et Giannone proposent avec l’exposition « Hope Will Never Be Silent » de retisser l’histoire de l’art queer.

L’ambitieux nouvel espace d’exposition Hakanto Contemporary a pour objectif de dynamiser la scène artistique locale. Un défi dans cette île frappée par des inondations dévastatrices.

Un an après l’attaque du Capitole, à Washington, le premier film d’Andres Serrano confronte les images produites par les assaillants et l’histoire violente des États­ Unis, donnant à voir le portrait d’une nation en guerre contre elle­-même.

Le centre d’art soutenu par le milliardaire russe Leonid Mikhelson fait ses débuts très attendus avec une « exposition de rêve » pour Ragnar Kjartansson et un carnaval en quatre actes.

Première mosaïque illustrant des scènes de l’Iliade d’Homère découverte en Angleterre, elle aurait décoré une imposante salle à manger et un espace de loisir dans un grand complexe de villas.

Depuis le 19 novembre, les chefs-d’œuvre impressionnistes et postimpressionnistes de la collection ont retrouvé la Courtauld Gallery qui a subi une transformation majeure. Visite guidée avec Ernst Vegelin van Claerbergen, directeur de l’institution.