Rencontre avec l’historienne d’art italo-américaine, dans le cadre de l’exposition « Arte Povera » dont elle assure le commissariat à la Bourse de Commerce – Pinault Collection, à Paris.

La Bourse de Commerce-Pinault Collection propose une dense rétrospective consacrée au célèbre mouvement italien.

Le LaM revient sur le parcours singulier de l’artiste italienne, une première rétrospective en France depuis trente ans.

Le musée de Rodez propose un voyage dans l’ensemble de son œuvre à travers des peintures, papiers, sculptures, céramiques et installations lumineuses et spatiales.

Plus d’une centaine d’œuvres, pour la plupart inédites en France (l’artiste n’ayant aucune pièce dans les collections françaises), constitue cette rétrospective titrée « Marisa Merz. Écouter l’espace ».

L’institution milanaise présente l’œuvre foisonnante de l’artiste italien à la carrière météoritique. Et met en avant le sens de la mise en scène chez ce membre de l’Arte povera disparu à l’âge de 32 ans.

L’artiste italien présente au Nouveau Musée National de Monaco – Villa Paloma une rétrospective tendue et poétique.

L’artiste italien, qui a remporté le Lion d’or de la biennale de Venise en 1990, est mort le 18 décembre 2023 à Turin.

La proposition de la galerie parisienne pour le secteur Feature réunit, en accord avec la Fondazione Centro Studi Piero Gilardi, un ensemble d’œuvres des années 1960.

La galerie a choisi, pour la section générale de la Foire bâloise, une pièce essentielle de chacun de ses artistes phares.

Figure majeure de l’arte povera, l’artiste italien, né en 1947, évoque sa pratique et revient sur son parcours. Après une importante donation de dessins au musée national d’Art moderne – Centre Pompidou, à Paris, il expose actuellement à la Galleria Borghese, à Rome.

L’artiste italien Piero Gilardi (1942-2023) est mort le 5 mars 2023. Il était l’une des personnalités les plus importantes de l’art italien de la seconde moitié du XXe siècle et une figure de l’art à laquelle nombre d’artistes se référaient.

Représenté par la galerie Marian Goodman en France, Giulio Paolini est le lauréat 2022, dans la section « peinture », du Praemium Imperiale, décerné par la Japan Art Association. Il retrace son parcours.

Déployée entre le Jeu de Paume et LE BAL, à Paris, l’exposition « Renverser ses yeux. Autour de l’arte povera 1960-1975 : photographie, film, vidéo » pose un nouveau regard sur le mouvement italien de la fin des années 1960.

La collectionneuse a formé avec son mari, Michel Durand-Dessert, l’un des couples de galeristes les plus à la pointe de l’art contemporain à Paris à la fin du XXe siècle.

L’arte povera est à l’honneur dans deux lieux de la capitale qui s’associent pour la première fois, LE BAL et le Jeu de Paume.

Le musée Rath, institution liée au musée d’Art et d’Histoire de Genève, propose une rétrospective des œuvres du couple emblématique de l’arte povera, Marisa et Mario Merz.

Lia Rumma, collectionneuse d’art et galeriste, a fait don de sa collection à l’État italien.

La Galerie Tanit présente à la Menart Fair des œuvres des artistes libanais Ghassan Zard, Chafa Ghaddar, Simone Fattal et Nabil Nahas.

À Bruxelles, où les institutions culturelles restent ouvertes, une double exposition-installation célèbre Gianni Pettena, figure majeure de l’architecture radicale italienne des années 1970.

L’artiste Giuseppe Penone, figure majeure de l’arte povera, a fait don de 219 œuvres sur papier au CRRI (Castello di Rivoli Research Institute), le nouveau département de recherches du musée d’art contemporain situé dans la région où il est né.

Les points communs ne manquent pas entre le sculpteur Mario Ceroli, tenant de l’arte povera, et le peintre Renato Mambor, que réunit la galerie Tornabuoni Art dans son espace du Marais.

À travers une cartographie documentée et subtile, l’exposition « Entrer dans l’œuvre » au musée d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne dévoile la disposition performative au cœur du mouvement artistique italien.

Le Madre à Naples rend hommage à Marcello Rumma (1942-1970), intellectuel, éditeur, collectionneur, initiateur de projets d’exposition qui fut une figure centrale de la scène littéraire et artistique italienne des années 1960.

La Foire bruxelloise réveille la curiosité des collectionneurs, grâce à une offre d’une surprenante richesse, de l’Antiquité à l’art contemporain.

À l’occasion de la rétrospective de l’œuvre de Jannis Kounellis à Venise, conversation avec le critique et historien d’art italien Germano Celant.

Personnalité phare de la scène culturelle romaine, le fondateur de la galerie L’Attico, découvreur de l’Arte Povera, aujourd’hui âgé de 79 ans, a accompagné les artistes de l’avant-garde tout en se passionnant pour la littérature et le théâtre.

L’artiste italienne Marisa Merz, seule femme membre du mouvement italien de l’Arte Povera, est décédée à l’âge de 93 ans dans sa ville natale de Turin