Le musée national Picasso-Paris propose la première rétrospective française de l’œuvre majeure de cette artiste africaine-américaine.

Les éditions suisses JRP publient la première monographie de référence sur l’œuvre de l’artiste canadienne, lauréate du prix Marcel-Duchamp en 2020.

Les éditions lituaniennes Post Scriptum. Littera publient en français un ensemble inédit de lettres adressées par Jonas et Adolfas Mekas entre 1957 et 1995 à leur mère et à leurs frères, restés au pays.

L’historienne d’art Cécile Bargues signe un essai aussi concis que réussi sur les années françaises de l’artiste suisse.

Arnauld Pierre, professeur en histoire de l’art contemporain, publie aux Éditions Macula un essai fouillé sur un motif abstrait et singulier : le moiré.

Thomas Schlesser, directeur de la Fondation Hartung-Bergman, à Antibes, signe une biographie documentée de l’artiste franco-norvégienne Anna-Eva Bergman.

Les éditions Daisy publient la première monographie consacrée à l’œuvre plastique de l’écrivain et performeur Anne-James Chaton.

Les Éditions de La Martinière nous emmènent à la découverte des yôkai qui peuplent l’imaginaire japonais.

L’exposition du musée du Louvre, à Paris, donne lieu à un catalogue sur un sujet des plus vastes, les choses.

Un ouvrage publié chez Cohen & Cohen remet à l’honneur le grand Odilon Redon

Notre collaborateur Bernard Marcelis, spécialiste d’André Cadere (1934-1978), publie chez JBE Books un ensemble inédit de lettres de l’artiste adressées, peu avant sa mort, au galeriste Yvon Lambert.

Les éditions des Beaux-Arts de Paris publient la traduction en français des Mémoires de John Giorno, best-seller aux États-Unis lors de sa parution en 2020.

À travers le témoignage de vingt-quatre personnalités du monde de l’art, l’avocat et critique Guy Bloch-Champfort dresse le portrait d’une Joan Mitchell aux multiples facettes.

« Une seconde d’éternité » propose une plongée sur le thème du temps dans les œuvres de la Collection Pinault, en son lieu d’exposition parisien.

Avec le nouveau titre de leur collection « Paroles d’artistes », les éditions Fage mettent un coup de projecteur sur le peintre, auteur et scénographe Gilles Aillaud.

Les éditions Même pas l’hiver publient un essai stimulant du critique d’art américain Lytle Shaw, dans lequel des agents du FBI sont considérés comme des théoriciens de la poésie.

Le Petit Palais, à Paris, propose une exposition stimulante sur les activités d’Ambroise Vollard éditeur d’estampes et de livres illustrés.

La romancière, poétesse et essayiste américaine remet en cause les genres littéraires et leur codification historique.

Les éditions Phaidon proposent une biographie croisée de ces pionniers du modernisme par le directeur de la Josef and Anni Albers Foundation.

À l’occasion du prix d’honneur AWARE, l’association publie un passionnant livre d’entretiens avec l’artiste néerlandaise.

Light Cone publie "Qu’est-ce que le cinéma ?", somme théorique signée par la réalisatrice française, pionnière du 7e art.

Une anthologie plurielle qui réunit essais critiques et textes d’artistes.

Dans un livre édité par Questions théoriques, le poète et artiste Franck Leibovici s’intéresse aux liens entre écriture et action.

En publiant Judy Chicago : To Sustain the Vision, Géraldine Gourbe offre une perspective renouvelée sur l’œuvre de l’artiste américaine.

L’édition 2020, dont le calendrier a été modifié par la crise du Covid-19, ouvrira ses portes le 28 août. Rencontre avec Stefan Kalmár, l’un de ses commissaires.

L’historienne d’art Noémie Étienne consacre une étude fouillée à l’histoire de ces tableaux anthropologiques aux États-Unis, au tournant du XXe siècle.

Les éditions Lenka Lente ont la bonne idée de rééditer Jukeboxes, recueil fiévreux du collagiste et seul poète beat français Claude Pélieu, paru en 1972.

Roven, éditeur de la revue du même nom, publie aussi des ouvrages sur le dessin contemporain, comme cette première monographie consacrée au travail d’Alexandre Leger.

À l’occasion de sa rétrospective à la Maison européenne de la photographie, à Paris, l’artiste autrichien nous révèle l’importance de cette œuvre au sein de son travail.

La spécialiste de l’art brut Lucienne Peiry sauve de l’oubli l’Italien Fernando Nannetti, qui passa trente-huit ans entre les murs d’un asile psychiatrique.