Le 3 octobre, la dispersion d’une collection particulière provençale, consacrée à Eugène Printz, organisée par la maison Arles Enchères, a totalisé 2, 46 millions d’euros. La commissaire-priseur, Christelle Gouirand, l’avait annoncé : « jamais il n’y a eu autant de meubles de Printz réunis au sein d’une même vente ». Tous les meubles étaient inédits sur le marché. Ils avaient été exécutés par l’ébéniste et décorateur français en 1935 pour un appartement parisien, avant d’arriver en Provence par descendance.
Plusieurs records ont été enregistrés à l’instar d’une enfilade à corps quadrangulaire en palmier à deux portes accordéons, fruit d’une collaboration avec Jean Dunand qui a été remportée pour 620 000 euros. Parmi les autres prix élevés, figurent un bureau en bois laqué rouge adjugé 440 200 euros ; une série de douze chaises tapissées de tissus léopard acquise pour 279 000 euros ; ou encore une table de salle à manger et un secrétaire remportés respectivement pour 235 600 euros et 229 400 euros.