Sous le commissariat de Virginie Bobin et Victorine Grataloup, le Centre régional d’art contemporain de Sète présente une exposition réunissant vidéos, photographies, sculptures et installations d’une vingtaine d’artistes et collectifs, qui abordent la question du langage en tant que fondement de l’identité culturelle. « Qalqalah قلقلة. Plus d’une langue », jusqu’au 24 mai, Centre régional d’art contemporain Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, 34200 Sète.
À Vassivière, Angelika Markul expose un ensemble de tableaux, sculptures et installations vidéo immersives inédits qui plongent le visiteur dans des paysages irréels, réflexion sur les origines de l’humanité, la place de l’homme dans la nature et ses relations avec la technologie. « Angelika Markul. Formule du temps », jusqu’au 7 juin, Centre international d’art et du paysage de l’Île de Vassivière, 87120 Beaumont-du-Lac.
La Villa Arson, à Nice, dévoile le résultat des recherches menées par Kristof Everart autour de l’urbanisation de Marseille, Nice et Sophia-Antipolis, où il a étudié. Il explore dans une démarche scientifique les différentes façons d’occuper les territoires et de les transformer. « Kristof Everart. Entropie d’un territoire », jusqu’au 3 mai, Villa Arson, 06100 Nice.
Au Palais de Tokyo, à Paris, Nicolas Daubanes, lauréat du Prix des Amis du Palais de Tokyo 2018, et diplômé de la HEART de Perpignan en 2012, s’inspire des manifestations populaires depuis la Commune de Paris pour offrir un paysage de bâtiments détruits. « Nicolas Daubanes. L’Huile et l’Eau », jusqu’au 17 mai, Palais de Tokyo, 75116 Paris.
À l’occasion du programme « Les chantiers-résidence », Passerelle Centre d’art contemporain à Brest accueille Fanny Gicquel pour sa première exposition personnelle. L’artiste explore à travers des installations les relations entre l’homme, la mer et l’environnement. « Fanny Gicquel. Des éclats », jusqu’au 2 avril, Centre d’art contemporain Brest Passerelle, 29200 Brest.
Le , à Saint-Gaudens, présente une exposition de photographies et de dessins récents de Damien Daufresne. L’artiste montre, dans un registre sombre, l’ambiguïté que peuvent porter des images familières quand elles évoquent des récits suggestifs et mystérieux. « Damien Daufresne. Mondfinsternis », jusqu’au 23 mai, Centre d’art contemporain Chapelle Saint-Jacques, 31800 Saint-Gaudens.