La Maison de l’Amérique latine accueille un ensemble de dessins, sculptures, gravures et documents historiques couvrant 50 ans de création d’Agustin Cárdenas, figure de proue des avant-gardes cubaines des années 1940-1960, et qui exposa souvent avec les surréalistes parisiens. « Cárdenas. Mon ombre après minuit », jusqu’au 25 avril, Maison de l’Amérique latine, 75007 Paris.
L’Instituto Cervantes de Paris propose une rétrospective d’Eduardo Chillida Belzunce, retraçant un demi-siècle de travail (1970-2019) de l’un des fils du grand artiste. L’exposition inclut 50 œuvres, dont des peintures et des sculptures de petit format en terre cuite et en bronze. « Cheminer vers l’art, Eduardo Chillida Belzunce », jusqu’au 13 mars, Instituto Cervantes de Paris, 75008 Paris.
L’Institut finlandais présente une exposition monographique consacrée à Laura Väre, lauréate 2019 du prix « Jeune designer de l’année » dans son pays. Dans un style minimaliste, elle conçoit des objets pratiques et de tous les jours avec un grand soin apporté au développement durable et aux besoins d’aujourd’hui. « Carte Blanche à Laura Väre », jusqu’au 13 avril, Institut finlandais, 75005 Paris.
Le Centre culturel irlandais présente une grande installation baroque de Sam Keogh, qui fut sélectionné en 2019 par l’équipe de commissaires du Palais de Tokyo pour la Biennale de Lyon, ainsi que par le Centre Pompidou pour « Cosmopolis #2 ». « Sam Keogh. Knotworm », jusqu’au 1er mars, Centre culturel irlandais, 75005 Paris.
Le Centre culturel canadien accueille une grande exposition collective regroupant une quinzaine d’artistes, dont Matthew Biederman, David Rokeby et Justine Emard, autour des nouvelles technologies et des potentialités cognitives qu’elles peuvent permettre. « Human Learning. Ce que les machines nous apprennent », jusqu’au 17 avril, Centre culturel canadien, 75008 Paris.
Avec le soutien du Centre culturel coréen, le musée Guimet propose un accrochage mettant à honneur la styliste Lee Young-hee. Un ensemble de ses œuvres montre sa maîtrise des techniques traditionnelles et une certaine hybridation avec la modernité. « Séoul-Paris, l’étoffe des rêves de Lee Young-Hee », Musée national des arts asiatiques-Guimet, 75116 Paris.