Le musée national d’archéologie consacre une exposition à Édouard Flouest. Le parcours comprend une large sélection d’esquisses et dessins, ainsi que plusieurs œuvres d’importance découvertes par ce pionnier de l’archéologie sous le Second Empire. « Édouard Flouest. Un magistrat au service de l’archéologie nationale », jusqu’au 20 octobre, Musée national d’archéologie, 78100 Saint-Germain-en-Laye.
Le musée archéologique de Strasbourg propose de découvrir la vie « intime » des œuvres, depuis leur découverte jusqu’à la mise en vitrine, dans une exposition qui détaille le processus de fouille, la restauration et la muséographie. « Mode d’emploi. La vie mouvementée des collections », jusqu’au 18 janvier, Musée archéologique, 67000 Strasbourg.
Lugdunum, musée & théâtres romains de Lyon, propose une exposition dédiée aux jeux et jouets de l’Antiquité, rassemblant des pièces issues de plusieurs collections nationales et étrangères. L’occasion de découvrir un aspect peu connu de la vie quotidienne – et ludique – de nos ancêtres. « Ludique. Jouer dans l’Antiquité », jusqu’au 12 janvier, Lugdunum - Musée & Théâtres romains, 69005 Lyon.
Le musée de la romanité à Nîmes offre une exploration virtuelle de l’Empire romain. Grâce aux capacités des nouvelles techniques de numérisation, le visiteur peut voyager, au fil de projections, dans sept sites archéologiques, tels que Palmyre, Aphrodisias ou encore Pompéi. « Bâtir un Empire. Une exploration virtuelle des mondes romains », jusqu’au 8 mars, Musée de la romanité, 30900 Nîmes.
Le musée Henri Prades, à Lattes, près de Montpellier, retrace l’histoire de la rencontre entre Grecs, Ibères et Gaulois sur les territoires situés entre Nikaia (Nice) et Emporion (Ampurias). L’exposition revient sur les échanges entre ces civilisations et la naissance de Marseille. « L’aventure phocéenne. Grecs, Ibères et Gaulois en Méditerranée nord-occidentale », jusqu’au 6 juillet, Musée Henri Prades, 34970 Lattes.
Au musée Massey de Tarbes, un ensemble de céramiques grecques et étrusques de la collection Campana, exposée au Louvre en 2018, est confronté à des peintures maniéristes et néoclassiques, dans une exploration de l’influence de la civilisation gréco-romaine sur l’art du XVIIe au XIXe siècles. « Campana et la fascination de l’Antiquité », jusqu’au 19 janvier, Musée Massey, 65000 Tarbes.